Par Mwema Ndungo

Plus d’un élève du secondaire en République Démocratique du Congo s’en fou de l’Anglais. Il est même fréquent de voir certains se montrer insolant envers leur enseignant d’Anglais. Souvent ils se disent : « Apres tout l’Anglais ne compte pas pour beaucoup des points. »

C’est parfois normal pour les élèves de penser que ce qui compte le plus c’est la moyenne qu’on trouve à la fin de l’année. Mais ce n’est pas le cas, certain cours compte moins de point mais ont une grande valeur dans la vie pratique. C’est le cas de l’Anglais.

Plus de 51 pays et 21 entités indépendantes s’expriment en anglais. Plus de livre sont écrit en Anglais ou traduit en Anglais que dans n’importe quelles autres langues actuellement. Et plus couramment, la diplomatie se fait en Anglais, car le pays le plus puissant au monde s’exprime en Anglais. La réalité la plus simple est que lorsque nous nous exprimons en Anglais, nous sommes bien compris par le reste du monde.

Comme Mandela l’a bien dit : « Si vous parlez à quelqu’un dans une langue qu’ils comprends, cela va dans sa tête. Si vous lui parlez dans sa langue, cela va dans son cœur». La langue du monde, c’est l’anglais.

C’est déjà une chance que nous connaissons le français. Mais aussi une chance de plus et que nous avons la chance d’apprendre l’Anglais a l’école sans payer d’autre frais. C’est important pour nous d’assimiler cette matière. L’Anglais est une clé pour nous au reste de l’Afrique ; surtout, l’Afrique australe, de l’est et au reste du monde.

Pour un jeune congolais, connaître l’Anglais, c’est aussi être ouvert au reste de la planète. Une langue de plus c’est un diplôme de plus. Si tu es diplômé en science, connaître l’Anglais te rends qualifier même dans un pays ou on ne parle qu’Anglais. Sans cela, tu restes diplômé au pays et incompétent ailleurs.

Par: Mwema Ndungo

L’exetat, la seule porte de sortie du parcours secondaire en RDC, est l’examen le plus déterminant d’une vie professionnel pour la jeunesse congolaise. L’actuel RDC comprend plus de jeunes et adultes enrôlés au niveau du secondaire que n’importe quelle autre époque dans l’histoire de l’éducation au Congo.

Ceci a été facilité par une myriade des différentes campagnes et initiatives misent en place durant le 2 dernier décennies. Elles incluent notamment : toutes les filles à l’école, tous les enfants à l’école et toutes les mamans à l’école. Ces initiatives et campagnes viennent de produire beaucoup d’effets positif and l’éducation national. Ce derniers temps, nous avons aussi un grand nombre de candidat autodidactes aux examens d’Etat.

Nous savons que ces jeunes et adultes n’ont pas les mêmes opportunités, ils ont des professeurs de différents calibres, ils ont accès à des différents matériels et surtout ils n’ont pas accès équitable aux exercices corrigés d’examen d’Etat précédant.

Les plus grandes questions sont comment ses préparent toute cette armée d’élèves congolais ? Ont-ils des opportunités équitables dans cette préparation ? Ont-ils des matériels adéquats ? Ont-ils accès aux examens passer pour ses perfectionner ?

Tout en pensant à toute ces questions, notre équipe se met sur ses gardes, prends soins des détails avant le lancement de nos activités. Grace a notre présence en ligne, nous répondons a la grande partie de l’équité dans la préparation. Car étant capable d’être capter en ligne et sur mobile, nous pensons que les jeunes congolais aurons plus l’accès facile à nos instruments.

Alors, a la question : Que faisons-nous de la préparation à l’exetat ? Nous la rendons équitable et facile. Grace à l’initiative exetat.net, nous facilitons aux élèves congolais l’accès aux professeurs des hauts calibres, aux matières bien compile et aux ITEMS corrige des examens d’Etat. Nous pourvoyons aussi une chance des faires des exercices simulés des examens d’Etat car nous comprenons une chose : « L’exercice nous rapproche à la perfection.