Né en Russie en  1917, ce système est une réaction contre les abus socio-économiques du libéralisme
a) Les principes cardinaux du collectivisme

• Sur le plan économique
  • L’état a tout le pouvoir
  • Il est l’unique propriétaire des moyens de production.
  • Il fixe le prix, les salaires, la quantité des biens ou des services à produire et limite le quota de la consommation.
  • Il détermine l’autorisation de la politique du développement soit vers l’industrie   d’équipement qu’il juge propice au développement de la communauté soit vers les   secteurs stratégiques capables de répondre aux besoins préfixés de la nation.
• Sur le plan politique

Un seul parti politique est reconnu comme légal en tant qu’expression unanime de la volonté du peuple.

• Pas de liberté ou de débat sur les modalités d’exercices du pouvoir.

b. Critique du collectivisme

• Critiques générales

- Il exige une administration lourde et couteuse qui doit tout organiser.
- Il étouffe la liberté individuelle.

• critique du collectivisme dans le pays en voies de développement
  •  Il exige une expérience administrative trop évolué et une forme progressive au fil de l’histoire sociale et politique. Cette expérience et cette forme manquent au pays  dont  l’indépendance remonte  à peine à  40 ans ou 50ans de vie autonome.
  • Dans le pays africains ce système n’a jamais été intégrale ni possible a cause de l’immaturité politique  des leaders  politique  dans l’organisation des populations.

NB : Le collectivisme réalise le développement mais au prix de la liberté.

Né de la révolution française de 1789 ce système, comme instrument de gestion, assure  partiellement le développement industriel, politique et social.
a) Les principes sacrés du libéralisme

• Sur le plan économique
  • La reconnaissance du développement de la propriété privée comme moyen de production
  • La libre concurrence
  • La  non-intervention de l’état dans la vie économique
  • L’Etat a le droit  de  regard  et de contrôle pour toute initiative individuel.  L’Etat assure la conformité aux normes fixées par la loi.
• Sur  le  plan politique

Le libéralisme repose sur :

• La  participation effective de tout le citoyen à la vie politique, à travers des élections libre et transparente (d’où le multipartisme et la soumission des dirigeants élus aux   exigences légale de la promotion de tous).
• Le respect par tous des principes d’égalité de chance en vue de la promotion de chaque  citoyen.
• Droit à l’information qui comprend  aussi la liberté d’expression qui est le fondement de tout le système.

b. Critiques du libéralisme

• Critique  générale
  • Les riches sont avantagés au détriment des classes ouvrières comme  instrument    de   production.
  • La prédominance de l’esprit de profit au mépris de condition de vie des travailleurs.
• Critique du libéralisme pour les pays en voies de développement.
  • Le libéralisme se veut un système qui permet l’initiative privée.
  • L’expansion des activités économiques ne profite pas au développement social.

L’objectif est le plein développement dans la vie des individus de tout leur potentiel en accord avec leur besoin et  leur  intérêt. Ce concept est plus large que celui du développement  économique. Il  se caractérise par 4 capacités :

- Vivre  longtemps et en bonne santé
- Acquérir un savoir et une connaissance 
- Avoir accès a des ressources nécessaires.
-  Prendre part a la vie de la communauté.

L’IDH est spécialement utilisé par le programme des nations unis pour le développement (PNUD). Depuis  1990, le PNUD donne la mesure du niveau atteint par la population d’un pays donné selon trois critères essentiels de l’IDH :

- la longévité
- l’accès au savoir ou éducation
- Le niveau de vie

NB : le  niveau de vie est formé par revenu brut par habitant en considérant le pouvoir d’achat (P.P.A) Pour les pays des richesses différentes le rapport du PNUD complète la présentation  et  l’évolution de  l’IDH par 3 autres indicateurs complexe :
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- Indicateur de la pauvreté humaine  (IPH)
- Indicateur sexo-spécifique humaine (ISDH)  du  développement
- Indicateur de la participation de la femme au pouvoir décisionnaire économique et politique (IPF)